[Traduit de l’anglais]
Dans l’ensemble, le risque de complication cardiaque au cours d’une année était 63 % plus élevé chez les personnes qui avaient contracté la COVID-19 que chez celles du groupe témoin contemporain. À la fin de l’année, il y a eu 45 autres événements cardiovasculaires (comme un accident vasculaire cérébral ou une insuffisance cardiaque) par tranche de 1 000 personnes dont le test de dépistage de la COVID-19 était positif. La comparaison avec les données historiques a donné des résultats similaires : le risque de problèmes cardiovasculaires dans le groupe qui avait la COVID était 58 % plus élevé que ce qui a été observé dans le groupe témoin prépndemique.
Lorsque les chercheurs ont examiné les personnes atteintes de COVID-19 léger en particulier, ils ont constaté que ce groupe avait un risque 39 % plus élevé de développer des problèmes cardiaques, par rapport au groupe témoin contemporain, soit 28 problèmes cardiovasculaires supplémentaires pour 1000 personnes en 12 mois.