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Une enquête nationale révèle que les soins de santé virtuels sont « essentiels » pour le soutien lié à la COVID longue, selon un rapport de la SFU

[Traduit de l’anglais]

Les résultats préliminaires d’un sondage national mené par des chercheur·euses de la Faculté des sciences de la santé de l’Université Simon Fraser (SFU FHS) ont révélé que les Canadien·ne·s atteint·e·s de la COVID longue considéraient les services de soins de santé virtuels comme essentiels à leurs soins.

« Parmi les 621 répondant·e·s au sondage, provenant de partout au pays, plusieurs ont expliqué comment ces services virtuels sont vitaux et essentiels pour accéder aux soins, réduisant ainsi les risques d’infection, les temps de déplacement et le malaise post-effort », a partagé Kayli Jamieson, chercheuse associée à la FHS, qui est elle-même atteinte de la COVID longue.

Le MPE, ou malaise post-effort, est fréquent chez de nombreuses personnes atteintes de la COVID longue, ce qui signifie que les déclencheurs d’activité physique, mentale ou sensorielle peuvent provoquer une recrudescence des symptômes allant de quelques heures à plusieurs semaines. C’est l’un des nombreux facteurs qui contribuent à la nature chronique et fréquemment invalidante de la COVID longue.

L’étude, dirigée par la Dre Julia Smith, professeure adjointe à la FSS, vise à analyser les expériences de soins virtuels selon une perspective intersectionnelle et, à terme, à produire un guide national fournissant des recommandations pour améliorer l’accès aux soins virtuels pour les personnes atteintes de la COVID longue.