Signe que les scientifiques ne comprennent pas encore tout à fait comment certaines variantes de COVID-19 parviennent à échapper au système immunitaire, une nouvelle étude ontarienne a révélé que les résidents de maisons de retraite et de centres de soins de longue durée infectés lors de la première vague d’Omicron étaient 20 fois plus susceptibles d’être réinfectés par le virus que ceux qui n’avaient pas subi d’infection antérieure.
Cette découverte surprenante des chercheurs de l’université McMaster va à l’encontre de l’idée reçue selon laquelle une infection antérieure par le COVID offre une protection contre les infections futures, du moins chez les personnes âgées qui ont participé à l’étude.
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