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Étiquette : Agence de la santé publique du Canada

L’infection d’un.e adolescent.e canadien.ne par la grippe aviaire n’est pas la version que l’on trouve chez les vaches

Un.e adolescent.e canadien.ne qui se trouve dans un état critique après avoir contracté la grippe aviaire H5N1 a été infecté.e par une version du virus différente de celle qui circule dans le bétail laitier aux États-Unis, ont annoncé mercredi les autorités canadiennes.

Le laboratoire national de microbiologie de Winnipeg a confirmé que l’infection était bien due au virus H5N1. Mais le séquençage génétique a montré qu’il s’agissait d’un génotype trouvé chez les oiseaux sauvages, et non de la version qui circule chez les vaches laitières aux États-Unis.

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Le programme de surveillance des eaux usées d’Ottawa est prolongé d’une autre année

Deux mois après que le gouvernement de l’Ontario a mis fin à la surveillance des eaux usées, les établissements de santé et de recherche d’Ottawa se sont unis pour prolonger le programme dans la ville pour une autre année au moins.

Qualifiant cette solution novatrice qui a permis une meilleure surveillance de la COVID-19 dans la collectivité, CHEO, l’Institut de recherche du CHEO, l’Université d’Ottawa et Santé publique Ottawa ont annoncé vendredi une prolongation de la surveillance des eaux usées.

En plus de surveiller les niveaux de COVID-19 dans les eaux usées, le programme surveille les niveaux de grippe, de VRS et de mpox à Ottawa. Le programme a été prolongé jusqu’en septembre 2025.

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L’Université d’Ottawa, le CHEO et SPO prolongent la surveillance des virus dans les eaux usées jusqu’en 2025

Notre groupe de recherche est vraiment reconnaissant de l’appui massif que nous avons reçu de la part de la collectivité au cours des derniers mois, par le biais de courriels, de lettres et d’appels téléphoniques préconisant le maintien de notre système de surveillance des eaux usées.

Nous avons recueilli des renseignements précieux sur la façon dont cette information est essentielle pour les membres de la collectivité qui font face à des défis en matière de santé, et nous sommes ravis de continuer à fournir ce service indispensable. Un grand merci à Santé publique Ottawa, au CHEO et à l’Institut de recherche du CHEO pour leur soutien indéfectible.

— Dr. Robert Delatolla
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Les vaccins contre la COVID-19 commencent à être distribués à certains Canadien.ne.s. Qui peut les obtenir ?

Les vaccins mis à jour contre la COVID-19 commencent à être distribués à certains Canadien.ne.s à haut risque, mais d’autres devront attendre encore un peu avant que ces nouveaux vaccins leur soient offerts.

Le mois dernier, Santé Canada a approuvé les derniers vaccins de Pfizer et de Moderna contre la COVID-19, ciblant les variants les plus récents du virus.

Les deux injections sont approuvées pour toute personne âgée de six mois et plus.

Les nouveaux vaccins à ARNm des deux sociétés pharmaceutiques ciblent le sous-variant KP.2 d’Omicron qui dominait la propagation du COVID-19 plus tôt cette année.

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Pour les Canadien.ne.s qui cherchent un vaccin contre la COVID non à base d’ARNm, l’absence de vaccin de Novavax est « injuste », disent les défenseur.e.s

La décision du gouvernement fédéral de ne pas fournir le vaccin de Novavax contre la COVID-19 pour la saison des virus respiratoires soulève des questions d’équité en matière de santé, selon les experts et les défenseurs, alors que certains Canadiens se tournent vers les États-Unis pour se faire vacciner.

L’Agence de santé publique du Canada a déclaré qu’elle ne fournirait pas le vaccin à base de protéines appelé Nuvaxovid parce que le fabricant a exigé une commande minimale qui dépasse de loin l’utilisation du vaccin l’année dernière.

L’agence de santé a déclaré que 125 000 doses de Nuvaxovid avaient été commandées en 2023, mais que seulement 5 529 avaient été administrées. Cet automne, il ne fournira aux provinces et aux territoires que les vaccins reformulés de Pfizer-BioNTech et de Moderna à ARNm contre la COVID-19.

Mais certains Canadiens qui se disent immunodéprimés et qui ont eu des réactions indésirables aux vaccins à ARNm qualifient cette décision d’injuste.

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Le gouvernement canadien ne commandera pas de vaccin de Novavax à base de protéines contre la COVID-19 cette année

TORONTO – L’Agence de la santé publique du Canada dit qu’elle ne fournit pas le vaccin de Novavax contre la COVID-19 cette saison de virus respiratoires, citant la faible demande.

Elle indique que le fabricant exige une commande minimale de son vaccin mis à jour à base de protéines, appelé Nuvaxovid, qui dépasse de loin l’absorption par les Canadiens l’an dernier.

L’agence affirme qu’une très petite partie des doses commandées en 2023 ont été utilisées et que sa décision reflète les efforts visant à limiter le gaspillage de vaccins.

Elle distribue deux vaccins à ARNm — fabriqués par Pfizer-BioNTech et Moderna — qui sont approuvés pour les adultes et les enfants de six mois et plus.

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Pas de bonne option : ces Canadien.ne.s veulent être protégé.e.s contre la COVID mais sont mécontent.e.s du choix de vaccins cet automne

Le gouvernement fédéral a décidé de ne pas se procurer un vaccin protéique contre la COVID-19 pour la campagne d’automne de vaccination, même si c’est le seul type que certaines personnes immunodéprimées disent avoir pu tolérer.

Alors que les vaccins à ARNm fabriqués par Pfizer et Moderna sont efficaces pour prévenir les maladies graves, l’hospitalisation et la mort, certaines personnes atteintes de maladies auto-immunes disent que les injections peuvent entraîner un compromis terrible.

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Pas de vaccin Novavax contre la COVID-19 au Canada cet automne, une femme immunodéprimée du N.-B. se sent « sacrifiable »

Linda Wilhelm, 64 ans, de Bloomfield (Nouveau-Brunswick), planifie un voyage en voiture aux États-Unis. Mais ce n’est pas pour faire du tourisme ou des achats.

Wilhelm, qui souffre d’une arthrite rhumatoïde grave, espère obtenir le vaccin Novavax contre la COVID-19 mis à jour, qui ne sera pas disponible au Canada dans le cadre de la campagne de vaccination de l’automne, à moins que les provinces et les territoires n’en commandent eux-mêmes des doses.

Wilhelm, présidente de l’Alliance canadienne des patients atteints d’arthrite et membre du Réseau canadien de défense des personnes immunodéprimées, affirme que le vaccin à base de protéines est une meilleure option pour les personnes immunisées comme elle que les vaccins plus courants Pfizer-BioNTech et Moderna. Elle se dit « épuisable » et exhorte le gouvernement fédéral à y repenser.

Il y a moins de deux mois, le réseau a écrit à de nombreux fonctionnaires fédéraux, provinciaux et territoriaux pour demander un meilleur accès à Novavax et une sensibilisation accrue.

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Vaccins contre la COVID disponibles en Colombie-Britannique jusqu’à l’arrivée de nouveaux vaccins : province

La Colombie-Britannique affirme que son approvisionnement actuel en vaccins contre la COVID-19 demeurera disponible jusqu’à ce que de nouvelles formulations soient approuvées, contrairement aux autres provinces qui affirment suivre une directive fédérale pour détruire les doses existantes.

Un porte-parole de l’agent provincial de la santé indique que les résidents de la Colombie-Britannique sont encouragés à attendre les vaccins COVID mis à jour si possible, mais qu’ils peuvent toujours obtenir des injections de la saison précédente s’ils en ont besoin.

Les responsables de l’Alberta, de l’Ontario, du Québec et de la Saskatchewan indiquent qu’ils suivent les instructions de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour éliminer les stocks de vaccins ciblant le variant XBB.1.5, puisque des formulations mises à jour sont prévues cet automne.

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Novavax maintenant ! Nous devons avoir accès au vaccin Novavax contre la COVID-19 !

📣 Faites savoir à l’ASPC et aux ministres de la santé que vous voulez avoir accès en temps opportun au vaccin Novavax contre la COVID-19 cet automne

✉️ Envoyer des lettres à l’ASPC et aux ministres de la santé pour exprimer votre appui à l’accès au vaccin Novavax contre la COVID-19 cet automne. Utilisez notre outil en ligne pour envoyer des courriels.

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Il y a un trou béant dans le suivi de la COVID-19 au Canada

Le site Web du gouvernement du Canada suit le nombre d’hospitalisations et de décès dus à la COVID-19 aiguë. Ce qu’il omet d’inclure, ce sont les hospitalisations et les décès résultant des conséquences à long terme de la COVID sur la santé.

Même les cas bénins comportent des risques, mais la COVID frappe le plus souvent les personnes après des cas graves, en particulier lorsqu’elles sont hospitalisées. Sur les près de 300 000 Canadiens hospitalisés jusqu’à présent, plus de la moitié ont probablement subi – ou subiront – des conséquences qui changeront leur vie, parfois des années après s’être remises d’une maladie aiguë. Ces risques augmentent avec les infections répétées.

Les hospitalisations et les décès dus à la COVID-19 sont souvent retardés. Comme l’hypertension artérielle, le SRAS-CoV-2 peut progressivement endommager la paroi interne des vaisseaux sanguins. Ce phénomène est en soi indolore. Si cela se produit chez des personnes ayant contracté des cas bénins de la COVID, c’est beaucoup plus probable après des cas graves, en particulier après une hospitalisation. Cela double le risque en aval d’avoir une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou un caillot sanguin dans les poumons. Il triple le risque de développer un rythme cardiaque anormal, notamment une fibrillation auriculaire.

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Les risques liés à la suppression d’un système d’alerte précoce pour la COVID

La COVID-19 progresse dans certaines régions d’Amérique du Nord et d’Europe, et a même contribué à mettre fin à la campagne présidentielle de Joe Biden, 81 ans, qui a été infecté pour la troisième fois le mois dernier.

Néanmoins, mercredi, le gouvernement de l’Ontario a fermé son système d’alerte précoce destiné à détecter la COVID et d’autres maladies émergentes.

Les médecins, les citoyens et les chercheurs qualifient la décision de mettre fin au programme de surveillance des maladies liées aux eaux usées de la province à la fois d’erronée et de dangereuse. Selon eux, la suppression du programme rendra plus difficile le suivi et la lutte contre les épidémies virales, ce qui alourdira le fardeau des hôpitaux ontariens qui manquent de personnel et qui ont dû fermer plus de 1 000 salles d’urgence l’année dernière.

« Les pandémies ne s’arrêtent pas parce que la science a été muselée », a déclaré à la CBC la Dre Iris Gorfinkel, médecin et chercheuse clinicienne bien connu à Toronto.

Dans des courriels adressés aux responsables politiques, plus de 5 000 citoyens ont demandé le rétablissement du programme, sans grand effet.

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L’Ontario ne peut pas faire disparaître la COVID-19 en prétendant qu’elle n’existe pas

Un autre coup porté à la compréhension de la propagation de la COVID-19 est maintenant prévu pour le 31 juillet. C’est à ce moment que le financement du vaste programme de surveillance des eaux usées de l’Ontario prend fin. C’est une technologie qui peut détecter les particules virales jusqu’à sept jours avant que les gens développent des symptômes. Il en coûte 15 millions de dollars par année pour inspecter 58 sites en Ontario, mais le coût de la perte de cette technologie durement acquise est beaucoup plus élevé. Le fait de ne plus disposer de ces données signifie que les hôpitaux, les établissements de soins de longue durée, les écoles et les collectivités perdront l’alerte avancée critique d’une éclosion potentielle. Cela leur donne moins de temps pour se préparer avec des masques, la filtration de l’air et les vaccins.

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« Vraiment malheureux » : La santé publique perd un outil qui permet de suivre les menaces émergentes des maladies infectieuses

La région de York risque de perdre de la fiabilité dans ses signaux d’avertissement pour les cas de la COVID-19 et de grippe à l’échelle de la population, car la surveillance provinciale des eaux usées prend fin, selon la santé publique.

Le gouvernement de l’Ontario a annoncé qu’il mettait fin au programme, qui permettait aux bureaux de santé publique de faire le suivi de la COVID-19 dans les sites d’échantillonnage des eaux usées de la province, le juillet 31.

La médecin-hygiéniste associée de la région de York, la Dre Sarah Erdman, a déclaré que l’outil était très utile pour éclairer les décisions en santé publique.

« Compte tenu du resserrement des critères d’admissibilité au dépistage de la COVID-19 et de la grippe, la surveillance des eaux usées a fourni des renseignements utiles sur le fardeau de la maladie et de la transmission communautaire au sein de la population en général », a déclaré la Dre Erdman. « Il a également fourni un avertissement précoce de hausses avant une augmentation des cas et des hospitalisations; sans données sur les eaux usées, la région de York ne sera pas en mesure d’obtenir de façon fiable ces estimations à l’avenir. »

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La grippe aviaire aux États-Unis surveillée de près par les autorités

La montée du nombre de cas de grippe aviaire dans des fermes aux États-Unis, la contamination de troupeaux de vaches ainsi que des cas récents de transmission à des êtres humains inquiètent les autorités québécoises et canadiennes, qui disent surveiller la situation de très près.

La grippe aviaire – plus précisément l’influenza aviaire de sous-types H5 et H7 – est une maladie à déclaration obligatoire au Québec. La grippe aviaire est une zoonose, c’est-à-dire qu’elle peut se transmettre de l’animal à l’humain.

Les cas de grippe aviaire chez les humains restent très rares, mais au printemps dernier, trois cas de contamination humaine associés à des élevages de vaches laitières infectées ont été recensés aux États-Unis. Deux personnes infectées ont eu des symptômes oculaires et la troisième personne a souffert d’une infection respiratoire.

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« L’outil de rêve » est enlevé par la province, selon le docteur en santé publique

La nouvelle selon laquelle la province met fin à la surveillance des eaux usées pour la COVID-19 et d’autres maladies infectieuses a déçu le médecin-hygiéniste associé de Simcoe-Muskoka.

« C’est vraiment malheureux parce que je pense que le reste du monde est certainement en train d’adopter cette approche (science), alors je ne sais pas trop pourquoi ils ne poursuivent pas cet outil très important de surveillance des maladies infectieuses, encore moins pour la COVID-19, mais aussi pour la grippe et d’autres infections. » a déclaré le Dr Colin Lee, du Service de santé du district de Simcoe Muskoka.

Le réseau de surveillance des eaux usées de l’Ontario qui a débuté en 2020 comme moyen de suivre la COVID-19 dans les eaux usées comprend 59 sites d’échantillonnage en Ontario, couvrant environ 60 % de la population de la province.

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Santé publique d’Ottawa cherche des moyens de poursuivre les essais sur les eaux usées

Santé publique Ottawa souhaite collaborer avec des partenaires locaux pour trouver des moyens de poursuivre la surveillance des eaux usées après que la province aura réduit le financement du programme le mois prochain.

À sa réunion de cette semaine, le conseil de santé de la ville a adopté une motion demandant au médecin-hygiéniste Dre Vera Etches d’écrire aux partenaires provinciaux et fédéraux pour trouver des façons de poursuivre le travail d’analyse des eaux usées qui se fait à l’Université d’Ottawa.

Plus tôt ce mois-ci, l’Ontario a annoncé qu’à la fin de juillet, il éliminerait le programme d’échantillonnage des eaux usées afin de surveiller les niveaux de la COVID-19 dans la population. Le programme a débuté en 2020 et est financé par le ministère de l’Environnement, de la Conservation et des Parcs.

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Le RPSO réagit à la réduction de l’Initiative ontarienne de surveillance des eaux usées

Le Réseau de Politique Scientifique d’Ottawa (RPSO) est préoccupé par la décision du gouvernement de l’Ontario d’annuler l’Initiative de surveillance des eaux usées (WSI) en Ontario. Cette réduction de 15 millions de dollars par année emploie des chercheurs et offre des rendements importants pour la santé et la sécurité publiques.

L’Initiative de surveillance des eaux usées a été adoptée en janvier 2021, ce qui a donné lieu à une équipe de travaux novateurs et reconnus à l’échelle internationale dirigée par des scientifiques des universités et des instituts de recherche de l’Ontario. L’Ontario est un leader mondial dans ce domaine de la recherche sur les eaux usées; le suivi des répercussions de la COVID-19 sur les collectivités grâce aux eaux usées a contribué à façonner les décisions en matière de politiques publiques et à informer les Ontariens des risques au sein de la population. Ce financement a non seulement fourni les moyens nécessaires pour suivre les niveaux de la COVID-19 au sein de la population, mais a également été élargi au dépistage de la grippe, du VRS et du mpox. Elizabeth Payne, correspondante pour l’Ottawa Citizen, souligne que la surveillance des eaux usées au début du VRS saisonnier a permis d’éviter 295 hospitalisations pédiatriques et 950 visites à l’hôpital, ce qui a permis à l’Ontario d’économiser 3,5 millions de dollars.

À compter du 31 juillet 2024, le gouvernement de l’Ontario n’investira plus dans l’Initiative de surveillance des eaux usées, notamment parce que le gouvernement fédéral élargira son programme par l’entremise de l’Agence de la santé publique du Canada. Cependant, les groupes de recherche et les étudiant.e.s diplômé.e.s qui comptent sur le financement de l’Ontario se trouvent dans une situation précaire, car l’avenir de leur financement demeure incertain.

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