Environ le quart des adultes américains qui ont contracté la COVID-19 au cours des quatre dernières années ont souffert de symptômes persistants qui ont duré au moins trois mois après leur infection. Mais la prévalence de la COVID-19 de longue durée variait considérablement selon l’État, la Californie ayant une incidence relativement faible par rapport à la moyenne nationale, selon un rapport publié vendredi par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis.
La COVID-19 de longue durée comprend plus de 200 symptômes qui peuvent durer des mois, voire des années après une infection à coronavirus, y compris une fatigue extrême, un brouillard cérébral, des palpitations cardiaques, une dysfonction sexuelle ou des troubles digestifs.
La répartition des points chauds de longue durée de la COVID par les CDC a révélé une corrélation claire entre les zones présentant des taux plus élevés de symptômes persistants et celles présentant le plus grand scepticisme à l’égard de la pandémie, selon les recherches des Instituts nationaux de santé.
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