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Étiquette : Canada

Le Manitoba lance une campagne de vaccination printanière contre la COVID-19 pour les groupes à risque élevé

Le Manitoba lance une campagne de vaccination pour les personnes les plus à risque de développer des effets graves de la COVID-19, dans le but de faire vacciner les gens avant l’été, lorsque la circulation du virus pourrait augmenter, dit la province.

Entre le 1er mai et le 30 juin, la province mettra à disposition des doses supplémentaires de vaccin contre la COVID-19 pour les personnes qui ont déjà reçu une dose depuis l’automne dernier, mais qui répondent à des critères précis.

Les doses supplémentaires seront offertes à toute personne âgée de 65 ans ou plus, aux Autochtones âgés de plus de 45 ans, aux résident·e·s des foyers de soins de longue durée et à toute personne âgée de six mois ou plus qui est modérément ou gravement immunodéprimée.

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La rougeole se propage en Ontario — voici ce que vous devez savoir

Une importante épidémie de rougeole a infecté plus de 800 personnes en Ontario. C’est la première épidémie de cette ampleur depuis que la maladie a été déclarée éliminée en 1998.

Aujourd’hui, la baisse des taux de vaccination est à l’origine d’une grave épidémie dans la province, ce qui suffit pour obtenir un avis de voyage à la province depuis l’État de New York au sud de la frontière.

Voici ce que vous devez savoir sur la rougeole : comment elle se transmet, comment vous pouvez vous protéger et si vous devez mettre à jour vos vaccins.

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Les aînés de 75 ans et plus invités à se faire vacciner contre la COVID-19

(Montréal) Une campagne de vaccination contre la COVID-19 est lancée ce printemps pour les personnes à risque de développer des complications, a annoncé lundi Santé Québec.

Des équipes sont présentement déployées dans les CHSLD de la province, après quoi la vaccination sera offerte dans les résidences privées pour aînés (RPA) ayant une clientèle plus vulnérable.

En plus des CHSLD et des RPA, les aînés de 75 ans et plus et les personnes immunodéprimées ou dialysées sont invités à aller chercher leur dose de vaccin. La présente campagne de vaccination vise aussi à rejoindre les personnes âgées de 65 à 74 ans qui vivent avec une maladie chronique ou qui vivent dans une région éloignée et isolée.

Les personnes non ciblées âgées de 6 mois et plus peuvent aussi recevoir gratuitement le vaccin contre la COVID-19, rappelle Santé Québec. Si elles ont déjà été vaccinées, elles devraient attendre au moins six mois après leur vaccin avant de recevoir une nouvelle dose.

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Le nombre de cas de rougeole en Ontario dépasse 800 infections totales, soit 155 nouveaux cas depuis la semaine dernière

TORONTO – L’Ontario a signalé 155 nouveaux cas de rougeole au cours de la dernière semaine, ce qui porte à 816 le nombre de cas enregistrés dans la province depuis le début de l’épidémie à l’automne.

Le nombre de nouveaux cas a augmenté à nouveau après quelques semaines où il semblait se stabiliser dans la fourchette des 100 par semaine, que les médecins de la santé publique avaient considérée comme un signe d’optimisme potentiel.

La Dre Sarah Wilson, médecin en santé publique à Santé publique Ontario, dit que le fait que l’Ontario ait dépassé les 800 cas est frappant.

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Danger aéroporté

Des classes bondées et encombrées signifient que les enfants respirent des virus et de la pollution. Les parents essaient de rendre l’air plus sûr, mais se heurtent à des obstacles.

En septembre 2023, Heather Pun a commencé à envoyer son fils à l’école avec un moniteur de dioxyde de carbone. Il passait ses journées dans une salle de classe portable étouffante, et elle s’inquiétait du fait que la COVID soit transmise de poumon à poumon par l’air vicié.

L’appareil, qui lit la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l’air, a montré des niveaux de CO2 aussi élevés que 3 500 parties par million (ppm) dans sa salle de classe.

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« Abandonné·e et trahi·e » : Suppression de l’obligation du port du masque en Colombie-Britannique, les soins de santé suscitent un tollé

Nous avons parcouru un long chemin depuis l’époque des mandats généraux de masque pour le public, mais une mesure récente visant à éliminer l’exigence dans les établissements de soins de santé en C.-B. suscite quelques protestations.

Selon un récent communiqué du ministère de la Santé de la Colombie-Britannique, « les gens sont toujours encouragés à porter des masques médicaux dans les établissements de soins de santé », mais ce n’est pas obligatoire.

Certains groupes, dont Protect Our Province BC et DoNoHarm BC, remettent en question la décision. Cette réponse intervient après que la Colombie-Britannique a annoncé qu’elle lançait la campagne de vaccination du printemps le 8 avril.

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Les patient·e·s de la C.-B. et les défenseurs·euses de la santé critiquent le retrait des protections des masques de soins de santé

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

DoNoHarm BC, Protect Our Province BC et la Societé canadienne de la covid avertissent que la décision de la province met en danger les patient·e·s, les travailleurs·euses de la santé et le système de santé

Le 31 mars 2025 (Colombie-Britannique) – Les patient·e·s et les défenseurs·euses de la santé de la C.-B. dénoncent la décision du gouvernement provincial d’abaisser les exigences en matière de masques de soins de santé, à un moment où il y a de multiples éclosions de maladies dans les milieux médicaux. Les groupes de santé publique DoNoHarm BC, Protect Our Province BC, et la Societé canadienne de la covid avertissent que cette mesure met en danger les patient·e·s vulnérables et les travailleurs·euses de première ligne, tout en nuisant à la durabilité et à la rentabilité du système de soins de santé de la Colombie-Britannique.

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Les doses de rappel des vaccins contre la COVID-19 aident à prévenir les infections post-vaccinales chez les personnes immunodéprimées

Des scientifiques ont axé leurs recherches sur les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde, de lupus, de sclérose en plaques et d’autres maladies inflammatoires d’origine immunologique

Selon des chercheurs de l’Université McGill, de nouvelles données fourniraient une preuve solide : les doses de rappel annuelles contre la COVID-19 demeurent bénéfiques pour certaines personnes immunodéprimées.

Les scientifiques se sont penchés sur la fréquence à laquelle des personnes atteintes de maladies inflammatoires d’origine immunologique ont contracté la COVID-19, et ce, même après avoir reçu au moins trois doses d’un vaccin à ARN messager (ARNm) contre la COVID-19. Plus de sept millions de Canadiens souffrent de ces maladies inflammatoires, parmi lesquelles figurent la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la maladie inflammatoire de l’intestin et la sclérose en plaques. Souvent, les médicaments que ces personnes prennent réduisent l’efficacité des vaccins, les rendant ainsi plus vulnérables aux infections.

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Les tarifs proposés par Trump sont susceptibles de causer des pénuries de médicaments fabriqués au Canada aux États-Unis, selon une étude

Selon une nouvelle étude, les tarifs proposés par le président des États-Unis Donald Trump sur les produits pharmaceutiques sont susceptibles de causer des pénuries de dizaines de médicaments fabriqués au Canada aux États-Unis.

Les produits pharmaceutiques font partie d’une poignée de tarifs sectoriels dont le président a parlé publiquement, en plus de ceux déjà imposés sur l’acier, l’aluminium et les automobiles. M. Trump a laissé entendre que les tarifs pourraient permettre de réduire le coût élevé des médicaments aux États-Unis et d’accroître la fabrication au pays.

Une nouvelle étude publiée lundi dans le Journal of the American Medical Association a examiné combien et quel type de médicaments fabriqués au Canada seraient touchés par les tarifs. L’étude a révélé que 3 milliards de dollars américains de ventes annuelles provenaient de médicaments dont la production finale se faisait au Canada, ce qui entraînerait une augmentation des coûts de 750 millions de dollars américains pour les acheteurs·euses américain·e·s si les tarifs étaient fixés à 25 %. Parmi les médicaments fabriqués au Canada, 79 % étaient des médicaments génériques.

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Des doses de vaccin contre la COVID-19 prévues au printemps pour certain·e·s Albertain·e·s vulnérables

Des préparatifs sont en cours pour un programme de vaccination limité contre la COVID-19 au printemps en Alberta.

Les pharmacien·ne·s disent que certains groupes d’Albertain·e·s à risque élevé seront admissibles à une dose bisannuelle du vaccin KP.2, à compter d’avril.

Les groupes admissibles comprennent les aîné·e·s (âgés de 65 ans et plus), tous les membres des Premières nations, les Métis et les Inuits âgés de six mois ou plus, les Albertain·e·s immunodéprimé·e·s âgés de six mois ou plus et les adultes vivant dans des foyers de soins, selon la politique d’immunisation mise à jour de l’Alberta.

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La province offre des doses de rappel contre la COVID-19 aux populations à risque

Le gouvernement provincial a commencé à offrir des doses de rappel contre la COVID-19 à certaines populations à risque, comme l’indique l’Avis national sur l’immunisation.

Sont admissibles toutes les personnes âgées de 65 ans et plus, les adultes résidant dans des foyers de soins de longue durée et d’autres milieux de vie collectifs pour personnes âgées, ainsi que les personnes âgées de plus de six mois qui présentent une immunodéficience modérée à sévère.

Le vaccin sera disponible jusqu’au 1er juin.

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La pandémie n’est pas finie pour cette femme de l’Île-du-Prince-Édouard, qui veut plus de soutien pour les personnes atteintes de la COVID longue

Il y a un peu plus de deux ans, Nikkie Gallant n’aurait jamais imaginé que le simple fait de s’asseoir dans son lit serait une tâche épuisante pour elle.

C’est la réalité de la musicienne de l’Île-du-Prince-Édouard depuis l’automne 2022, lorsqu’on lui a diagnostiqué le syndrome post-COVID-19, plus communément appelée « COVID longue ».

Maintenant, elle dépense beaucoup d’énergie simplement en allant à l’évier pour boire un verre d’eau ou plier le linge. Elle doit souvent oublier ses projets de quitter la maison.

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Fin de la saison respiratoire, lancement de la campagne printanière de vaccination contre la COVID-19 en Colombie-Britannique

La saison des maladies respiratoires est terminée, a déclaré vendredi la principale médecin de la Colombie-Britannique, mais la province est sur le point de lancer une campagne de vaccination contre la COVID-19 au printemps et veut que tout le monde soit entièrement protégé contre la rougeole.

La médecin hygiéniste en chef, la Dre Bonnie Henry, a déclaré que les hospitalisations liées à la COVID-19 en Colombie-Britannique ont atteint leur niveau le plus bas depuis 2020, avec environ 40 personnes hospitalisées, tandis que les cas de grippe et de virus respiratoire syncytial, ou VRS, ont également diminué.

Pourtant, Henry a dit qu’il y avait eu des résurgences au printemps et en été dans le passé, et que la province se concentre sur la protection des personnes les plus à risque de maladie grave.

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Les étudiant·e·s de l’Université de Waterloo sensibilisent les gens à la COVID longue

Bien que la COVID-19 ne fasse plus les manchettes, certaines personnes se sont donné pour mission de sensibiliser les gens à l’impact que le virus a encore sur la communauté.

L’Université de Waterloo a organisé une marche silencieuse jeudi pour sensibiliser le public à la maladie connue sous le nom de COVID longue – lorsque l’impact d’une infection se fait encore sentir des mois après les faits.

Les personnes atteintes ou ayant souffert de la COVID longue, ainsi que les sympathisants de leurs proches atteint·e·s, faisaient partie des personnes présentes.

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La rougeole est « inévitable » à Ottawa, prévient un expert, alors que l’épidémie se propage en Ontario

Santé publique Ottawa a commencé à surveiller les eaux usées pour détecter la présence de rougeole dans la ville alors que la maladie hautement infectieuse continue d’augmenter partout en Ontario.

Cela fait d’Ottawa l’une des seules collectivités de la province et du Canada à utiliser les eaux usées comme signal d’alerte précoce possible pour la rougeole. Santé publique Ottawa dit que l’outil est prometteur pour détecter la rougeole, mais les recherches sont limitées et « beaucoup d’inconnues demeurent ».

Il n’y a pas eu de cas à Ottawa jusqu’à présent cette année, mais le Dr Gregory Rose, directeur de la prévention et du contrôle des infections à l’hôpital Queensway Carleton, prévient que ce n’est qu’une question de temps.

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Au milieu de la plus grande épidémie de rougeole au Canada en plus d’une décennie, les experts disent que cet outil de l’ère de la COVID pourrait aider

Alors que le Canada fait face à sa plus grande épidémie de rougeole depuis plus d’une décennie, les experts en santé disent qu’un outil de l’ère de la COVID pourrait aider à maîtriser la propagation.

La surveillance des eaux usées, qui consiste à analyser des échantillons d’eaux usées pour détecter la présence de pathogènes viraux, est devenue essentielle pendant la pandémie. Les données ont aidé les responsables de la santé à déterminer le cheminement de la COVID-19 et à mieux prévoir la trajectoire des cas.

À l’époque, il était considéré comme un outil essentiel de santé publique qui pourrait servir de système d’alerte pour protéger les Canadien·ne·s contre les futures infections nuisibles. Et comme l’épidémie actuelle de rougeole dépasse 500 cas au Canada, les experts disent que c’est le moment où il serait le plus utile de s’appuyer sur la surveillance régionale des eaux usées.

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J’ai troqué ma carrière médicale aux États-Unis contre la vie au Canada. Voici comment les deux systèmes de santé se comparent.

Après plus d’une décennie à pratiquer la médecine d’urgence aux États-Unis, j’ai récemment commencé à travailler en équipe au Canada. Les différences me frappent immédiatement et sont profondes.

Ce qui suit est une série d’hypothèses de travail — des premières impressions façonnées par l’expérience directe et des années de travail en matière de politique de la santé aux États-Unis. Je m’attends à ce qu’elles évoluent avec le temps, mais elles indiquent déjà des contrastes importants dans la façon dont les deux pays abordent la médecine, l’autonomie des médecins et la relation médecin-patient·e.

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Ouverture des rendez-vous pour le vaccin contre la COVID-19 au printemps pour les Néo-Écossais·es et les Néo-Brunswickois·es à risque élevé

Les Néo-Écossais·es et les Néo-Brunswickois·es qui présentent le plus grand risque de maladie grave à la suite d’une infection par la COVID-19 peuvent maintenant prendre rendez-vous pour recevoir un vaccin au printemps.

La dose sera disponible du 31 mars au 30 juin en Nouvelle-Écosse. Les enfants âgés de six mois à 11 ans peuvent recevoir le vaccin jusqu’au 17 juin.

La campagne de printemps du Nouveau-Brunswick se déroulera du 7 avril au 30 juin. Les gens pourront prendre rendez-vous à partir du 28 mars. Pour les enfants de moins de 12 ans, le vaccin sera disponible jusqu’au 21 juin.

La Nouvelle-Écosse dit qu’elle suit les recommandations du Comité consultatif national sur l’immunisation pour la dose printanière.

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