Les survivant·e·s du cancer infecté·e·s par la COVID-19 au cours des premiers mois de la pandémie présentaient un risque plus élevé de mourir du réveil de cellules dormantes, ont constaté des chercheur·euses du Colorado, bien qu’ils/elles ignorent si les personnes infectées par le virus courent aujourd’hui le même risque.
Des expériences sur des souris ont montré que les animaux génétiquement modifiés étaient plus susceptibles de présenter des signes de cancer métastatique des poumons en cas d’infection par la grippe ou la COVID-19 que les souris génétiquement modifiées auxquelles les chercheur·euses n’avaient pas administré de virus, a déclaré James DeGregori, directeur adjoint du Centre de cancérologie de l’Université du Colorado à Aurora.
Cette découverte a donné lieu à un partenariat international visant à déterminer si le même phénomène se produisait chez l’humain, a-t-il ajouté.
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