Les recherches révolutionnaires de Linsey Marr, experte en aérosols et professeure d’ingénierie civile et environnementale à Virginia Tech, ont montré que le virus SARS-CoV-2 est présent dans l’air plutôt que dans de grandes gouttelettes qui tombent avec la gravité.
Les commentaires sont fermésÉtiquette : dogme des gouttelettes
Canada’s culture of silence on airborne virus transmission leaves many confused on how to best avoid infection
C’est l’époque de la pandémie. Nous continuons de suivre les directives de santé publique, qui deviennent de moins en moins restrictives, en attendant que les vaccins mettent fin à cette crise. Nous avons beaucoup appris au cours de la dernière année sur la façon de mieux nous protéger, y compris des renseignements essentiels selon lesquels la COVID est probablement transmise principalement par voie aérienne.
Pourtant, bon nombre de nos spécialistes des maladies infectieuses et de la santé publique — y compris nos médecins hygiénistes en chef — semblent incapables de prononcer le mot « aéroporté » ou « aérosol » à haute voix et continuent plutôt de mettre l’accent sur des mesures comme le nettoyage en profondeur et les panneaux de plexiglas.
Les commentaires sont fermésThe 60-Year-Old Scientific Screwup That Helped Covid Kill
Tôt un matin, Linsey Marr s’est approchée sur la pointe des pieds de sa table de salle à manger, a glissé sur un casque et a allumé Zoom. Sur son écran d’ordinateur, des dizaines de visages familiers ont commencé à apparaître. Elle a également vu quelques personnes qu’elle ne connaissait pas, y compris Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’Organisation mondiale de la Santé pour le COVID-19, et d’autres conseillers experts de l’OMS. Il était tout juste passé 1 heure de Genève le 3 avril 2020, mais à Blacksburg, en Virginie, où Marr vit avec son mari et ses deux enfants, l’aube commençait à peine à se lever.
Les commentaires sont fermésOntario, Alberta change policy limiting N95 masks as health-care workers demand greater access
Au moins deux provinces ont cédé aux pressions exercées par les syndicats pour que certains professionnels de la santé utilisent des masques respiratoires spécialisés lorsqu’ils traitent des patients atteints de la COVID-19, ce qui suscite des préoccupations chez les experts en prévention des infections et minera la confiance des travailleurs de la santé dans leurs conseils.
L’Alberta et l’Ontario ont conclu des ententes avec des syndicats pour permettre à certains travailleurs de la santé d’utiliser des masques respiratoires N95 s’ils le jugent nécessaire. Le plus grand syndicat d’infirmières de la Nouvelle-Écosse demande maintenant aux fonctionnaires provinciaux de faire de même.
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