Des milliers de cas de la COVID-19 et de décès en Californie, en Oregon et à Washington entre mars et décembre 2020 pourraient être attribuables à l’augmentation de la pollution atmosphérique par les particules fines (PM2,5) causée par la fumée des feux de forêt, selon une nouvelle étuderédigé par des chercheurs de la Harvard T.H. Chan School of Public Health.
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New research examines wastewater to detect community spread of Covid-19
Une série de revers cruciaux dans le dépistage de la Covid-19 a rendu difficile le suivi de la propagation rapide du virus et a incité certains chercheurs à se tourner vers les eaux usées pour aider à combler l’écart de mesure de la prévalence du SRAS-CoV-2 dans une communauté donnée.
Dans un article publié mardi sur le serveur de préimpression medRxiv, des chercheurs ont prélevé fin mars des échantillons dans une station d’épuration desservant une grande agglomération du Massachusetts et ont constaté que la quantité de particules de SRAS-CoV-2 dans les échantillons d’eaux usées indiquait un nombre de personnes probablement infectées par la Covid-19 bien plus élevé que les cas signalés dans cette région.
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