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Étiquette : Institut national de santé publique du Québec

L’Hôpital général de Montréal fait face à une éclosion de la COVID-19 en été

Il y a une éclosion de COVID-19 au 18e étage de l’Hôpital général de Montréal, alors que le Québec et d’autres administrations connaissent une augmentation des infections.

L’hôpital a mis en place une politique de port du masque obligatoire pour tous les membres de cette unité et tous les membres de l’étage sont surveillés pour déceler les symptômes.

Dans l’ensemble, le nombre de tests positifs à la COVID-19 au Québec est passé de 448 en avril à 745 hier. C’est encore bien en dessous des 3 000 que nous avions au début de janvier.

Les 22 décès rapportés par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) au cours de la semaine de June 30 sont encore bien en deçà des 100 décès par semaine observés au Québec il y a un an.

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Analyse : Le Québec en pleine nouvelle vague estivale de la COVID-19

Le Québec est maintenant témoin — comme c’est le cas partout en Amérique du Nord — d’une hausse des hospitalisations liées à la COVID-19, ce qui renforce l’idée que le SRAS-CoV-2 n’est toujours pas un virus entièrement saisonnier et envoie les fabricants de vaccins à la course pour développer des vaccins contre la COVID-19 pour cet automne qui protégeront contre les dernières sous-variantes.

La province a signalé un total de 671 hospitalisations avec et pour la COVID-19 en date de 5 juillet. C’est une hausse par rapport à un minimum de 400 hospitalisations de ce genre le 20 avril au Québec. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le nombre de patients dans les salles d’urgence testés positifs pour le SRAS-CoV-2 augmente également.

De plus en plus de Québécois se disent positifs à la COVID-19, le pourcentage passant à 12,9 % à compter du 30 juin, selon l’INSPQ. Le fait que cela se produise en été suggère que le SRAS-CoV-2 est encore loin d’être un virus saisonnier comme la grippe, une opinion soutenue par les médecins et les experts dans le domaine.

« La COVID n’est pas terminée », a déclaré vendredi à la CBC la Dre Susan Kuo, médecin de famille de la Colombie-Britannique. « C’est l’été. Nous sommes en juillet. Ce n’est généralement pas le moment de voir autant de personnes malades. Ce que cela nous dit, c’est que la COVID n’est pas un virus saisonnier. »

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Quebecers over 80 are urged to get COVID vaccine booster this spring

Le comité d’immunisation du Québec recommande une dose de rappel du vaccin monovalent XBB.1.5 contre la COVID-19 ce printemps aux personnes âgées de 80 ans et plus ainsi qu’aux personnes immunodéprimées ou sous dialyse.

La situation du COVID-19 continue d’évoluer et certaines parties de la population demeurent plus vulnérables au virus, a indiqué cette semaine l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) en publiant ses recommandations en matière de vaccination.

Une personne vaccinée contre la COVID-19 est moins susceptible de développer une maladie grave, mais une diminution progressive de cette protection est observée sur une période de six mois après la vaccination. Une dose de rappel est donc nécessaire pour maintenir une protection adéquate, note l’INSPQ dans son avis le plus récent.

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Vaccination contre la COVID-19: l’INSPQ publie ses recommandations pour le printemps

La situation de la COVID-19 continue d’évoluer et certains groupes de la population demeurent plus vulnérables au virus. L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a publié cette semaine ses recommandations de vaccination pour le printemps 2024.

Une personne vaccinée contre la COVID-19 a moins de chance de développer une maladie grave, mais une diminution progressive de cette protection est observée sur une période de six mois suivant la vaccination. Une dose de rappel est ainsi nécessaire pour conserver une protection adéquate, rappelle l’INSPQ dans son plus récent avis.

Les complications graves de la COVID-19 sont beaucoup plus fréquentes chez les personnes de 80 ans et plus. Pour ce groupe d’âge, environ une personne infectée sur 30 doit être hospitalisée. Chez les 60 à 79 ans, la fréquence des hospitalisations et des décès est plus faible, sauf pour les personnes vivant avec une maladie chronique.

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Dubé demande l’aide des Québécois et annonce des mesures pour les urgences

Pour réduire la pression sur les urgences qui débordent, le ministre de la Santé, Christian Dubé, demande aux gens ayant des problèmes non urgents de pratiquer les autosoins, de contacter leur médecin de famille, leur groupe de médecine familiale (GMF) ou la ligne téléphonique 811 plutôt que de se rendre à l’hôpital. Il signale que 28 cliniques d’hiver sont ouvertes et que des ententes ont été récemment conclues avec des milieux d’hébergement pour qu’ils accueillent des aînés coincés à l’hôpital en raison du manque de places en CHSLD.

Les urgences font face à une « tempête parfaite », selon Christian Dubé : un cocktail de virus saisonniers, les vacances des Fêtes du personnel («  méritées », dit-il), une pénurie de main-d’oeuvre (plus importante que l’an dernier) et un manque de lits d’hospitalisation avec, en toile de fond, le vieillissement de la population.

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