Cet espace vert exclusif remplira de nombreuses fonctions, notamment celle de favoriser activement l’engagement et la réconciliation avec les membres de la communauté autochtone.
Du creux d’une coquille d’ormeau, une fumée odorante s’élève vers le ciel. Elle provient de la combustion de sauge, de tabac, de cèdre et de foin d’odeur, quatre plantes médicinales sacrées utilisées dans les cérémonies de guérison autochtones. Une Aînée algonquine effleure délicatement de ses mains la fumée tressée et l’offre aux quatre directions dans le cadre d’une pratique de purification par la fumée (connue sous le nom de smudging en anglais).
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