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Étiquette : mpox

Ottawa Public Health seeking ways to continue wastewater testing

Ottawa Public Health wants to collaborate with local partners to look for ways to continue wastewater monitoring after the province cuts funding to the program next month.

At its meeting this week, the city’s board of health passed a motion directing Medical Officer of Health Dr. Vera Etches to write to provincial and federal partners to find ways to continue the wastewater testing work that’s being done at the University of Ottawa.

Earlier this month, Ontario announced that by the end of July, it will scrap the program for sampling wastewater to monitor levels of COVID-19 in the population. The program began in 2020 and is funded through the Ministry of Environment, Conservation and Parks.

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Le dépistage des maladies dans les eaux usées de l’Ontario doit prendre de l’ampleur, et non se rétrécir | Opinion

Imaginez, si vous voulez, un système de surveillance des maladies qui ne repose pas sur des tests coûteux et douloureux. Cela ne nous oblige pas à faire des prélèvements dans le nez, des aiguilles dans les bras ou même à répondre à des questions banales sur les symptômes. Ce système nous demande plutôt de vaquer à nos occupations quotidiennes, de dormir, de nous réveiller, de manger et de déféquer… exactement comme nous le ferions normalement. Dans ce système, des nerds héroïques — hors de vue et hors de l’esprit — prélèvent et analysent des échantillons d’eaux usées afin de nous dire si les taux de maladie sont préoccupants ou tolérables.

Imaginez maintenant que des décideurs politiques à courte vue décident de supprimer un tel système de surveillance, tout comme sa valeur et sa qualité pionnière sont célébrées dans le monde entier.

Le dépistage des eaux usées liées aux maladies infectieuses en Ontario est l’un des rares points positifs d’une réponse par ailleurs inégale à la pandémie de COVID. En l’absence d’un solide système de surveillance active, qui nécessiterait un dépistage aléatoire régulier d’un grand nombre de personnes pour diverses maladies — comme la COVID-19, mpox, le VRS et la grippe —, les scientifiques se sont fiés à quatre sources de données pour mesurer l’étendue de l’infection dans nos populations : les taux d’hospitalisation et de mortalité, le dépistage occasionnel des personnes qui se présentent malades dans certains hôpitaux (ce que nous appelons la « surveillance sentinelle ») et le dépistage des eaux usées.

Des quatre, les eaux usées sont la seule méthode qui capture presque tous les cas, en particulier les infections asymptomatiques ou celles qui ne sont pas assez graves pour obtenir des soins médicaux. Avec la fermeture des centres de dépistage de la COVID-19 et le manque de disponibilité des tests rapides à domicile pour la COVID-19 et d’autres maladies, les niveaux d’eaux usées ont peut-être été le meilleur indicateur pour informer le grand public sur le risque d’infection actuel. Et cette information est essentielle pour ceux qui doivent prendre des décisions quotidiennes d’exposition et de socialisation pour se protéger et protéger les autres contre l’infection.

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Mpox cases on the rise again, OPH warns

Les cas de mpox en Ontario sont en augmentation, prévient Santé publique Ottawa (SPO) aux médecins et infirmières de la région.

La province a signalé 26 cas jusqu’à présent en 2024, et Santé publique Ottawa a indiqué dans son communiqué de mercredi que quatre cas avaient été confirmés à Ottawa.

Anciennement connu sous le nom de monkeypox, le mpox est une maladie virale rare qui est typiquement endémique dans certains pays d’Afrique centrale et de l’Ouest.

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