Une étude publiée aujourd’hui dans la revue Cell Reports Medicine révèle des différences biologiques clés qui pourraient expliquer pourquoi les femmes atteintes de COVID longue, en particulier celles qui développent le syndrome de fatigue chronique, ont tendance à présenter des symptômes plus graves et persistants que les hommes.
La condition post-COVID-19, ou COVID longue, est diagnostiquée lorsque des symptômes neurologiques, respiratoires ou gastro-intestinaux se développent ou continuent trois mois ou plus après une infection aiguë par le SRAS-CoV-2.
La probabilité de contracter la COVID longue est trois fois plus élevée pour les femmes que pour les hommes, mais jusqu’à présent, les mécanismes biologiques sous-jacents à l’origine de cette disparité sont restés inconnus.
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