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Étiquette : régime de Trump

Voici toutes les agences qu’Elon Musk et DOGE ont essayé de démanteler jusqu’à présent

Le groupe du « Department of Government Efficiency » d’Elon Musk a rapidement atteint l’objectif du milliardaire de réduire ou de démanteler une grande partie du gouvernement fédéral, de mettre fin aux politiques de diversité et de poursuivre les objectifs du président Donald Trump.

Les employés du DOGE, dont beaucoup n’ont aucune expérience gouvernementale, ont dû passer par des systèmes de données, fermer les programmes de la DEI et, dans certains cas, des organismes entiers.

En date du 10 février, ABC a suivi Musk et son équipe de DOGE qui ont obtenu l’accès à au moins 15 organismes fédéraux.

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Une juge bloque temporairement les coupes budgétaires de Trump dans la recherche médicale

Une coalition de 22 procureurs généraux a intenté un procès au gouvernement fédéral, affirmant que les 4 milliards de dollars en réductions budgétaires « frapperaient » les études sur le cancer, les maladies cardiaques et d’autres affections.

Une juge fédérale a temporairement bloqué lundi les National Institutes of Health de couper le financement de la recherche dans 22 états qui ont déposé une plainte plus tôt dans la journée en arguant que le plan viderait des études sur les traitements contre le cancer, Alzheimer, maladies cardiaques et une foule d’autres maux.

Les coupes budgétaires annoncées vendredi dernier devaient entrer en vigueur lundi, mais les procureurs généraux du Massachusetts et de 21 autres États ont intenté des poursuites. Ils ont soutenu que le plan de l’administration Trump visant à réduire les frais généraux de 4 milliards de dollars — appelés « coûts indirects » — violait une loi vieille de 79 ans qui régit la façon dont les organismes administratifs établissent et administrent les règlements.

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Cinq anciens secrétaires au Trésor : Notre démocratie est en état de siège

Lorsque nous avons eu l’honneur d’être assermentés comme 70e, 71e, 75e, 76e et 78e secrétaires du Trésor, nous avons prêté serment de soutenir et de défendre la Constitution des États-Unis.

Nos rôles étaient multiples. Nous avons cherché à élaborer une politique solide pour faire avancer le programme du président et représenter les intérêts économiques des États-Unis sur la scène mondiale. Mais en faisant cela, nous avons reconnu que notre responsabilité la plus fondamentale était l’exécution fidèle des lois et de la Constitution des États-Unis.

Nous avons eu la chance que, pendant nos mandats, aucun effort n’ait été fait pour miner illégalement les engagements financiers du pays. Malheureusement, les récents rapports donnent lieu à de sérieuses préoccupations quant aux efforts entrepris aujourd’hui.

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Les NIH réduisent des milliards de dollars en financement biomédical, à compter de maintenant

L’administration Trump coupe des milliards de dollars dans le financement de la recherche biomédicale, alarmant les dirigeants universitaires qui ont dit que cela mettrait en danger leurs universités et centres médicaux et attirant rapidement des réprimandes des démocrates qui ont prédit des conséquences désastreuses pour recherche scientifique.

Le mouvement, annoncé vendredi soir par les National Institutes of Health, réduit drastiquement le financement des NIH pour les coûts « indirects » liés à la recherche. Ce sont les exigences administratives, les installations et autres opérations que de nombreux scientifiques considèrent comme essentielles mais que certains républicains ont qualifiées de superflues.

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J’ai dirigé l’U.S.A.I.D. Le tuer est une victoire pour les autocrates partout.

Nous assistons à l’une des plus grandes et des plus coûteuses erreurs de politique étrangère dans l’histoire des États-Unis. Moins de trois semaines après le deuxième mandat de Donald Trump, lui, Elon Musk et le secrétaire d’État Marco Rubio ont mis fin aux programmes d’aide de l’Agence des États-Unis pour le développement international dans le monde entier. Ce faisant, ils ont mis en danger des millions de vies, des milliers d’emplois américains et des milliards de dollars d’investissements dans les petites entreprises et les fermes américaines, tout en minant gravement notre sécurité nationale et notre influence mondiale — le tout pendant que les autoritaristes et les extrémistes célèbrent leur chance.

Je suis choqué par l’assaut jubilatoire perpétré par notre propre gouvernement contre les programmes de l’U.S.A.I.D. Mais après avoir dirigé l’agence pendant quatre ans, je ne suis pas surpris que les attaques soient acclamées par Moscou et Pékin. Ils comprennent ce que ceux qui cherchent à démanteler l’agence sont désespérés de cacher au peuple américain : l’U.S.A.I.D. est devenu la superpuissance américaine dans un monde défini par des menaces qui traversent les frontières et dans une concurrence stratégique croissante.

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Décès prédits dans le chaos de la fermeture d’USAID par Elon Musk

L’impact de la déclaration du milliardaire a été rapide et brutal, avec des aliments et des médicaments cruciaux abandonnés dans les entrepôts, des programmes vitaux fermés et des travailleurs mis à pied

Les approvisionnements essentiels de médicaments vitaux ont été bloqués et les enfants sont resté.e.s sans nourriture et luttant contre la malnutrition, alors que des effets multiples ont été signalés à travers le monde après qu’Elon Musk a décidé de fermer l’agence d’aide internationale prééminente du gouvernement américain.

Des scènes chaotiques ont été observées dans de nombreux pays alors que les organisations humanitaires préviennent contre le risque d’une escalade des maladies et de la famine ainsi que des répercussions désastreuses dans des domaines tels que la planification familiale et l’éducation des filles, après la décision du président Donald Trump de geler le financement de l’USAID. En 2023, l’agence a géré plus de 40 milliards de dollars (32 milliards de livres sterling).

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Les données du CDC disparaissent

Hier soir, les scientifiques ont commencé à entendre des avertissements cryptiques et prémonitoires de la part de leurs collègues : « Allez sur le site du CDC et téléchargez vos données maintenant. Ils se disaient tous la même chose : les données sur le site étaient sur le point de disparaître, ou d’être modifiées, pour respecter la tentative continue de l’administration Trump de supprimer toute mention du genre, de la DEI et de l’accessibilité dans les agences fédérales. « Je suis resté debout jusqu’à 2 h du matin », m’a dit Angela Rasmussen, virologue au Vaccine and Infectious Disease Organization de l’Université de la Saskatchewan qui s’appuie sur les données des CDC pour suivre les éclosions virales. Elle a archivé tout ce qu’elle pouvait.

Ce qu’ils craignaient s’est vite réalisé. Le contenu du Système de surveillance des comportements à risque des jeunes du CDC, qui comprend les données d’une enquête nationale, a déjà disparu; ainsi que certaines parties de l’indice de vulnérabilité sociale et de l’indice de justice environnementale de l’Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies. La page d’accueil du CDC pour les données sur le VIH a également disparu. Et l’outil AtlasPlus de l’agence, qui contient près de 20 ans de données de surveillance des CDC sur le VIH, l’hépatite, les infections sexuellement transmissibles et la tuberculose, est en panne. Plusieurs scientifiques avec qui j’ai parlé m’ont dit qu’ils avaient entendu directement de leurs contacts au CDC que l’agence avait ordonné aux employés de supprimer toute mention du « sexe » de son site et des données qu’elle y partage, en les remplaçant par « sexe ».

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RFK Jr. a continué à demander de voir la science qui disait que les vaccins étaient sécuritaires. Après l’avoir vu, il l’a rejeté

WASHINGTON (AP) — L’homme qui espère devenir secrétaire à la Santé du président Donald Trump a demandé à plusieurs reprises de voir des « données » ou des « sciences » montrant que les vaccins sont sûrs – mais quand un sénateur républicain influent lui a montré des preuves, il les a rejetées.

Robert F. Kennedy Jr. a passé deux jours cette semaine à insister auprès des sénateurs qu’il n’est pas anti-vaccin. Il a dit qu’il appuie plutôt les vaccins et suivra la science en supervisant le ministère de la Santé et des Services sociaux, qui, entre autres tâches, supervise la recherche sur les vaccins, l’approbation et les recommandations.

Mais Kennedy a refusé à plusieurs reprises de reconnaître le consensus scientifique selon lequel les vaccins pour enfants ne causent pas l’autisme et que les vaccins contre la COVID-19 ont sauvé des millions de vies, et il a faussement affirmé que le gouvernement n’avait pas de bon contrôle de la sécurité des vaccins. Tout en semblant ignorer la science courante, il a cité des recherches erronées ou tangentielles pour faire valoir ses arguments, comme par exemple suggérer que les Noirs pourraient avoir besoin de vaccins différents des Blancs.

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Kennedy fait face à des questions difficiles sur les points de vue sur le vaccin lors de l’audience de confirmation du HHS

RFK Jr. a un passé bien documenté de diffusion d’une désinformation dangereuse sur les vaccins et les interventions en santé publique, laissant des communautés vulnérables sans protection et mettant des millions de vies en danger. Sa nomination constitue une menace directe pour la sécurité de nos patient.e.s et du public en général.

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Vidéo | Caroline Kennedy accuse son cousin RFK Jr. d’être un « prédateur »

Avertissement sur le contenu : références à la cruauté envers les animaux

Arlette Saenz de CNN rapporte sur une vidéo partagée par Caroline Kennedy avertissant les sénateurs de rejeter la nomination de son cousin Robert F. Kennedy Jr. d’être secrétaire des Services de santé et des services sociaux avant les audiences de confirmation mercredi.

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Le régime de Trump arrête la distribution de médicaments pour le VIH dans les pays pauvres

L’administration Trump a demandé aux organisations d’autres pays de cesser de débourser des médicaments VIH achetés avec l’aide des États-Unis, même si les médicaments ont déjà été obtenus et sont en attente dans les cliniques locales.

La directive fait partie d’un gel plus large de l’aide étrangère qui a été lancé la semaine dernière. Il comprend le Plan d’urgence du président pour l’aide au sida, programme de santé mondiale lancé par George W. Bush et qui est crédité de sauver plus de 25 millions de vies dans le monde.

L’administration avait déjà pris des mesures pour empêcher le financement du PEPFAR de se déplacer vers les cliniques, les hôpitaux et d’autres organisations dans les pays à faible revenu.

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La National Science Foundation bloque l’examen des subventions en réponse aux ordres exécutifs de Trump

La National Science Foundation a annulé tous ses comités d’examen des subventions cette semaine, alors que l’organisation s’efforce d’aligner son processus de financement sur les nouveaux ordres exécutifs de l’administration Trump.

Le NSF finance un large éventail de recherches scientifiques par le biais de subventions aux universités et aux instituts de recherche. Il réunit des groupes d’experts pour évaluer les mérites de ces propositions et déterminer qui recevra le financement fédéral. Il a un budget d’environ 9 milliards de dollars.

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L’annulation brutale des réunions scientifiques par le gouvernement Trump suscite la confusion et l’inquiétude

Une série de réunions scientifiques et de panels dans les organismes scientifiques fédéraux a été annulée mercredi, à un moment où la sensibilité est plus grande quant à la façon dont l’administration Trump va modifier les politiques des organismes et les affaires quotidiennes.

Plusieurs réunions des sections d’étude des Instituts nationaux de la santé, qui examinent les demandes de bourses et de subventions, ont été annulées sans être reprogrammées, selon les avis des agences examinés par le STAT. Une réunion du 20 et 21 février du Comité consultatif national sur les vaccins, un groupe de travail qui conseille les dirigeants du ministère de la Santé et des Services sociaux sur la politique relative aux vaccins, a également été annulée. Ainsi se tenait la réunion du Conseil consultatif présidentiel pour la lutte contre les bactéries résistantes aux antibiotiques, prévue pour les 28 et 29 janvier.

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L’OMS regrette que Trump ait décidé de retirer les États-Unis de l’organisation

Trump on Monday signed an executive order directing the United States to withdraw from the WHO, a body he has repeatedly criticized over its handling of the Covid-19 pandemic.

Speaking at the White House after his inauguration, Trump said the United States was paying far more to the United Nations body than China, adding: « World Health ripped us off. »

Washington, comfortably the biggest financial contributor to the Geneva-based organization, provides substantial support that is critical to the WHO’s operations.

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Les responsables de Trump mettent en pause les communications des organismes de santé, citant l’examen

L’administration Trump a demandé aux organismes fédéraux de la santé d’interrompre toutes les communications externes, comme les avis de santé, les rapports scientifiques hebdomadaires, les mises à jour des sites Web et les publications sur les médias sociaux. Selon une douzaine de responsables actuels et anciens, ainsi que d’autres personnes familiarisées avec le sujet.

Les instructions ont été remises mardi au personnel des agences du ministère de la Santé et des Services sociaux, y compris l’Administration des aliments et des médicaments, les centres pour le contrôle et la prévention des maladies et les instituts nationaux de la santé, Un jour après que la nouvelle administration a pris ses fonctions, selon les personnes ayant des connaissances, qui ont parlé à la condition de l’anonymat pour décrire des conversations privées. Certains d’entre eux ont reconnu qu’ils s’attendaient à un certain examen pendant une transition présidentielle, mais ont dit qu’ils étaient confus par la portée de la pause et sa durée indéterminée.

Les organismes de santé sont chargés de prendre des décisions qui touchent la vie de tous les Américains et sont la source d’informations cruciales pour les fournisseurs de soins de santé et les organisations à travers le pays.

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Alors que les survivant.e.s de la polio assistent à la confirmation de Kennedy, tous les regards se tournent vers McConnell

Aujourd’hui, leur nombre diminue, et les coupures de journaux jaunes et délavées relatant leurs visites à l’hôpital dans leur enfance sont rangées dans les albums de famille. Les poumons d’acier, ces respirateurs en forme de cercueil qui ont permis à nombre d’entre eux de rester en vie, appartiennent au passé, relégués dans les livres d’histoire et les musées. Certains ont l’impression que le monde les a oubliés.

Aujourd’hui, les survivant.e.s de la polio revivent leurs douloureux souvenirs en observant les événements à Washington, où le Sénat examinera bientôt la nomination de Robert F. Kennedy Jr, un fervent critique des vaccins, au poste de prochain ministre de la santé. Et ils/elles surveillent de près l’un des leurs : le sénateur Mitch McConnell, ancien chef de file des républicains.

Cela fait près de 70 ans que le vaccin contre la polio du Dr Jonas Salk a été déclaré « efficace à 80-90 % » contre la forme paralytique de la maladie. Bien que le gouvernement ne tienne pas de chiffres officiels, les groupes de pression estiment qu’il y a environ 300 000 survivant.e.s aux États-Unis. La nomination de M. Kennedy a incité certains à s’exprimer.

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« Joyau de la couronne » du gouvernement depuis longtemps, le N.I.H. est désormais une cible

Les National Institutes of Health, le principal bailleur de fonds public mondial de la recherche biomédicale, ont un bilan enviable. Les recherches soutenues par l’agence ont conduit à plus de 100 prix Nobel et ont soutenu plus de 99 % des médicaments approuvés par les régulateurs fédéraux de 2010 à 2019.

Il n’est donc pas surprenant que l’agence ait été qualifiée de « joyau de la couronne du gouvernement fédéral ». Mais en janvier, lorsque le président élu Donald J. Trump et les républicains du Congrès prendront les commandes, le N.I.H. pourrait avoir à rendre des comptes.

Robert F. Kennedy, Jr., sélectionné par la nouvelle administration pour le poste de secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux, qui supervise le N.I.H., fustige régulièrement les scientifiques fédéraux et est un fervent critique des produits pharmaceutiques et des vaccins conventionnels, avec un long passé de propagation de mensonges sur la sécurité des vaccins.

Il a déclaré qu’il amènerait l’agence à « faire une pause » pendant des années dans la recherche sur les maladies infectieuses, en se concentrant plutôt sur les maladies chroniques.

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Un médecin de Stanford sélectionné pour un poste clé par Trump plaide pour avoir laissé la COVID se propager

Le choix du président élu Donald Trump cette semaine pour diriger les National Institutes of Health est un chercheur controversé de Stanford qui s’est montré très critique à l’égard de la réponse à la pandémie de COVID-19, suscitant les réticences de la communauté médicale et certains souffrant toujours des effets à long terme du maladie.

Le Dr Jay Bhattacharya, professeur de politique de santé et chercheur principal à l’Institut de recherche sur les politiques économiques de Stanford, était l’un des trois co-auteurs d’une lettre de 2020 contestant des politiques telles que le confinement et l’obligation de porter un masque, et appelant à accélérer l’immunité collective.

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