Si vous faites partie du groupe d’environ un·e Canadien·ne sur cinq qui ont développé des symptômes de la COVID longue après avoir contracté la COVID-19, vous connaissez peut-être les problèmes de mémoire, les difficultés de concentration et toute une série d’autres déficiences cognitives qui sont devenues emblématiques de la condition — collectivement connues sous le nom de « brouillard cérébral ».
Mais malgré la présence de ces symptômes cognitifs dans près de 90 pour cent des cas de COVID longue, le mécanisme biologique à l’origine du brouillard cérébral — et comment nous pouvons le traiter — est resté largement incertain. Jusqu’à présent.
Un nouvel article, publié dans la revue à comité de lecture Brain Communications, a révélé que les personnes vivant avec la COVID longue avaient des niveaux plus élevés d’un certain récepteur cérébral que leurs pairs en bonne santé. Plus ils en avaient, plus leurs symptômes tendaient à empirer, suggère l’étude.
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