Les personnes qui ont enduré des cas de COVID-19, même légers, courent un risque accru deux ans plus tard de souffrir de problèmes pulmonaires, de fatigue, de diabète et de certains autres problèmes de santé typiques de la longue COVID, selon une nouvelle étude qui met en lumière le véritable impact du virus.
L’analyse, publiée lundi dans la revue Nature Medicine, On croit que c’est la première fois qu’on documente la mesure dans laquelle un éventail d’effets secondaires que les patients peuvent développer — dans le cadre du syndrome diffus et parfois débilitant connu sous le nom de long covid — persistent au-delà des premiers mois ou de l’année suivant leur survie à une infection à coronavirus.
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