[Traduit de l’anglais]
Dans une cohorte suédoise, le risque de COVID longue était bien plus faible chez les participant.e.s vacciné.e.s que chez les non vacciné.e.s au cours de l’année suivant l’infection, même en limitant les analyses à des sous-groupes basés sur le variant, l’âge, le sexe et le statut d’infection antérieur, estime une étude publiée la semaine dernière dans le Journal of Infectious Diseases.
Des chercheurs du Karolinska Institutet de Stockholm ont analysé les données de cinq registres afin de comparer les taux de symptômes persistants de la COVID-19, ou état post-COVID [PCC], chez les adultes infecté.e.s entre janvier 2021 et février 2022, selon le statut vaccinal au cours des 14 jours précédant l’infection. Le suivi a duré de 365 à 660 jours.