[Traduit de l’anglais]
Lorsqu’un bâtiment public prend feu, ses systèmes intégrés réagissent automatiquement : les détecteurs de fumée se déclenchent, les gicleurs se déclenchent et les occupants évacuent rapidement.
Et si le danger mortel n’était pas le feu, mais des contaminants aériens invisibles qui peuvent rendre les occupants malades ? Un système de bâtiment intelligent similaire pourrait-il surveiller et améliorer la qualité de l’air à l’intérieur, où les Américains passent 90 % de leur temps ?
Grâce à un contrat pouvant atteindre 40 millions de dollars de l’Advanced Research Projects Agency for Health (ARPA-H), une ambitieuse équipe de recherche multi-institutionnelle dirigée par Virginia Tech et incluant des chercheurs de l’Université de Californie à Davis, vise précisément à créer un tel système.
